Mantra 22

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*** english will follow***

La relation à l’autre a longtemps été quelque chose de difficile. Peut-être seulement dépassé, en complication, par celle que j’entretenais avec moi-même.

L’autre, je l’évitais tant que je pouvais. Je le jugeais beaucoup. Je ne l’aimais pas, bien souvent, aussi. Surtout lorsqu’il ne me reflétait pas l’image idéale de moi-même que j’essayais  presque désespérément d’entretenir.

Je n’acceptais les critiques que de moi-même. Une partie auto-flagellation très répandue au sein de notre humanité.

J’ai appris à entendre, à recevoir les critiques de l’autre. Je continue à apprendre à le faire. Facile? Non. Cela donne l’impression d’être une terre labourée par un soc de charrue. Et c’est certainement là le but de la vie.

Même quand ce n’est pas «juste», pas mérité, mal exprimé voire arrogant et plein de jugement, d’envie voire de jalousie. Même quand cet autre est mal placé pour parler. Ou qu’il parle sans savoir. Même quand je sens l’attaque en face, au-delà des mots. Et lorsque cela arrive à un moment où j’ose grandir un peu plus, prendre des risques, celui d’exprimer l’être que je suis, un peu plus, et que cela semble alors tellement inopportun, injuste.

Mais…Plus je suis touché profondément, plus je suis capable de voir la disharmonie qui m’habite encore. Plus je me dis que non, ce n’est pas arrivé «par hasard». Que j’ai encore «un petit quelque chose à apprendre de l’autre».  Plus je comprends qu’il y a «une partie» du message sur laquelle j’ai besoin de me pencher. Car elle détient une pièce du puzzle que je cherche depuis si longtemps à compléter. Une parcelle de vérité. Ma vérité. Qu’est-ce qui me blesse, encore? Quelle partie de moi n’est pas en Paix? Et donc quelle partie de moi est encore en guerre?

Et quand j’arrive à remercier, à accepter que la vie me parle ainsi,  je sais que je viens de remporter une petite victoire. Grâce à l’autre. Me replier sur moi ou m’ouvrir à la vie. Tel est le choix que je perçois. Et il passe par amener toute mes parties à la Lumière.

– – – J’accepte ta leçon mon Frère, ma Sœur – – –

 

 NB: voir aussi: Comment utiliser ces mantras

 

The relation to others has for a long time been something difficult. Maybe just a bit less than the relation with myself.

I tried to avoid the «other » as much as I could. I judged him a lot. I did not love him, too often. Especially when he didn’t reflect the ideal image of myself I desperately tried to preserve.

I accepted criticisms only from me. A very human trait. I have learned to listen, to receive these criticisms. And I go on with this learning.

Easy to do? No. It feels like being plow by the ploughshare. And this is certainly life’s main goal.

Even when it is not fair, not earned, badly expressed, even arrogant and full of judgment, envy or jealousy. Even when this other speaks without knowing. Even when I can feel the attack beyond the words. And when it happens at a time when I dare grow up a little more, take risk to express  a bit more the being I am, and that is seems so inappropriate.

But… The more I am deeply touched, the more I am able to see the disharmony in myself. The more I realize that it did not happen by chance. That I still have «a little something» to learn from others. The more I understand there is «a part» of the message I still need to study. Because it carries a piece of the puzzle I am trying to complete. A part of the truth. My truth. What does hurt me still? What part of me is not in peace? And so, what part of me is still in war?

And when I am able to thank myself, to accept that life is talking to me. I know I have won a small victory. With the help of this other. To withdraw into myself or to open to life. This is the choice I discern. Ant it goes with bringing all parts of me to the Light.

— I accept your lesson my Brother/my Sister —

100% cru, 100% idéal? – 2ème partie

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Alors c’est un grand oui pour le cru. L’évidence nous montre combien son impact est bénéfique sur notre organisme.

Mais le bon sens est comme toujours nécessaire et un bémol peut être apposé à l’étiquette «du cru pour tous et en tout temps». Car si notre santé est régie par de grandes lois naturelles, nous sommes tous différents les uns des autres.

En naturopathie, il est question de «constitutions», de «tempéraments» (voir les travaux de P. V. Marchesseau) qui nous définissent et nous prédisposent à certaines forces mais aussi faiblesses.

À cet égard, il est important de spécifier que les personnes de type –plus ou moins- «nerveux» comme ceux dits  «obèses blancs» sont équilibrés par le chaud. Aussi bien un environnement qu’un repas chaud. La décision de «passer au cru» sur un long terme poserait alors sans aucun doute problème pour ce type de personnes. Perte d’énergie, troubles métaboliques et hormonaux seraient favorisés.

Êtes-vous concernés? Voici quelques traits de définition des types les moins équilibrés par le cru :

– nerveux : visage longiligne, vertical, osseux, teint pâle, frilosité extrême

– grand nerveux : visage émacié, teint plombé et délétère avec frilosité caricaturale, générale et permanente.

– obèse blanc : visage rond, poupin, teint pâle, paradoxal et présentant une frilosité extrême. (ce type est à opposer à l’obèse plus « rouge» dont les tissus sont plus dilatés, ne présentant jamais de frilosité).

 

Dans le prolongement de cette idée, il est clair qu’il sera plus facile de supporter une alimentation complètement crue lors des saisons les plus chaudes. Et ce quelle que soit notre constitution. Ce sera le temps idéal pour toute expérimentation et découverte d’une alimentation 100% crue.

Manger cru au mois de janvier ne conviendra pas à beaucoup (sauf si vous  vivez sous les tropiques). L’hiver canadien (et des pays tempérés) n’est pas la saison adapté à une alimentation complètement crue. La santé dépend d’un équilibre. Celui entre le froid et le chaud devra naturellement être pris en considération.

 

Il n’est pas dit de ne pas manger du tout cru, mais que le chaud a aussi sa place dans certains cas et situations.

Le cru expérimenté comme un complément à une alimentation sera bénéfique dans tous les cas. Il sera un apport qualitatif indéniable.

 

Tout ceci étant dit,  le cru n’est pas du poison, bien au contraire, et même sur quelques jours il sera supporté par tous, et l’envisager comme cure sera bénéfique.

 

 

D’un autre côté, manger cru ne veut pas forcément dire manger léger. Parce que bon nombre de recettes crudivores utilisent des noix comme les amandes, noix de cajou noix de Grenoble…

Ces noix sont bonnes pour la santé, riches en minéraux et gras (dont même des gras poly et mono-insaturés très bénéfiques). Et il est important de relever que la digestion de ces gras pris en trop grande quantité sera un problème. D’autant plus qu’en général la fonction hépatique, souvent déjà surchargée, n’est que très rarement à son niveau de fonctionnement idéal. En d’autres termes apporter trop de gras sur un foie affaibli alourdira la digestion un peu plus. Et cela n’est jamais à rechercher!

Il est impossible de donner une quantité de noix à consommer quotidiennement qui convienne à tous. Alors faisons appel au bon sens encore une fois, et si nous avons un foie déficient, surchargé, qui n’est pas drainé de façon régulière,  ne nous jetons pas sur une recette trop riche en gras! Un vieux dicton affirme que le «trop est l’ennemi du bien».

 

En conclusion, manger cru, oui oui et re-oui. Mais ne pas en faire un dogme ou une croyance rigide à suivre en tout temps, toutes conditions et pour qui n’importe qui.

 

 

Bertrand Huchot

détoxsantéglobale.com

100% cru, 100% idéal? – 1ère partie

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La vague du cru est partie d’un bel élan voici déjà quelques années. Et bien évidemment pour la «bonne cause». Celle d’une alimentation de meilleure qualité que l’assiette habituelle de la plupart des gens. Quels sont ses avantages? À quelles pathologies s’adresse-t-elle le plus? Mais aussi convient-elle à tous? Et ce en tout temps et dans tout environnement? Autant de questions qui demandent que l’on s’y intéresse…Avec un certain discernement.

Le premier avantage du cru est sa richesse en nutriments. Et la présence de nutriments en quantité suffisante est une nécessité que l’on doit rechercher au vu de la pauvreté de l’alimentation conventionnelle déjà constaté par la recherche scientifique et médicale (1).

Non seulement beaucoup d’aliments sont appauvris mais nous en «rajoutons une couche» avec différentes techniques de conservation et de cuisson inadéquates et détruisant les nutriments (spécialement les vitamines et les enzymes) comme la cuisson à haute température.

La vitamine C est ainsi détruite à partir de 70°C. À 100°C toutes les vitamines sont détruites en majeures parties.

La cuisson à grande eau des végétaux entraîne la perte de minéraux et la cuisson en général crée la dé-chélation des minéraux, les rendant ainsi moins assimilables (naturellement, les minéraux sont souvent liés à d’autres composés organiques, comme les acides aminés, facilitant leur absorption dans l’organisme).

Vitamines et minéraux sont essentiels à un grand nombre de réactions au sein de notre organisme. En particulier les réactions de prévention de l’oxydation – et donc du vieillissement cellulaire et celles de détoxification. La présence de minéraux donnent aux légumes leur pouvoir anti-acide ou alcalinisant.

C’est dire que l’absence de ces nutriments se fait ressentir dans un très grand nombre de pathologies! Problèmes de déminéralisation, ostéoporose, arthrose, arthrite et autres maladies inflammatoires, toutes les maladies en lien avec le système immunitaire ou encore la croissance…Pour ne citer qu’elles.

Si la cuisson enlève du «positif», elle peut ajouter aussi du «négatif». Comme les molécules cancérigènes issues de la cuisson à haute température. Bien sûr il y a toute les molécules issues de la carbonisation des aliments (barbecue etc…) mais pas seulement. Toutes les «dorures» du pain et autres pâtisseries sont des produits dits de glycation potentiellement toxiques que l’organisme n’est bien souvent pas capable d’éliminer.

Évidemment, le risque évalué sur un temps court, quelques semaines mais même aussi quelque années ne sera peut-être pas évalué comme élevé. Mais sur plusieurs décennies? Et  cumulées à d’autres sources de toxiques comme tel est le cas dans le monde dans lequel nous vivons? Nous n’en avons, scientifiquement parlant, absolument aucune idée.

Le principe de précaution voire le bon sens a toute sa place dans une santé à long terme.

Les modes de cuissons à conseiller sont la cuisson à basse température et la cuisson à la vapeur qui sont les techniques qui épargnent le plus la qualité des aliments. Le four à micro-onde est un autre destructeur de nutriments.

Par ailleurs, lorsque l’on parle de cru l’expression alimentation vivante n’est jamais loin. Et à juste titre. Nos aliments possèdent une «force vitale», une« énergie» qui leur est inhérente et qui contribue à entretenir celle de notre organisme. La chaleur affecte grandement cette force vitale si elle dépasse 45°C. Manger cru est donc favorable au vivant.

Il existe un autre groupe de molécules qui confèrent une qualité «vivante» à un aliment : c’est son contenu en «enzymes». Les enzymes sont des molécules sans qui les réactions naturelles auraient bien du mal à se produire dans le corps.

Leur présence facilite grandement la digestion. Mais pas seulement, elles ont aussi un impact majeur dans la lutte contre l’inflammation. L’impact thérapeutique est considérable vu le nombre de pathologies liées à l’inflammation : parmi celles-ci il y a bien sûr l’arthrite mais n’oublions pas que l’inflammation est un facteur clef de l’athérosclérose et des maladies cardiaques.

Manger cru est donc indéniablement sain. C’est une évidence dont nous devons nous souvenir. Le cru a sa place dans notre assiette! Jus de légumes biologiques et frais, salades, germination sont nos amis pour la vie. Car consommés au quotidien, nous avons de meilleures chances de la prolonger. Et de la vivre en forme!

Bertrand Huchot

détoxsantéglobale.com

(1) Voire article https://detoxsanteglobale.wordpress.com/2015/04/27/pourquoi-nous-sommes-carences/

Les reins, gardiens de notre force ancestrale

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Issus du même feuillet embryonnaire que le cœur, les reins sont porteurs de notre force ancestrale. L’expression «être éreinté» parle d’elle-même : nous sommes épuisés, «à terre». Énergétiquement parlant, il existe un rein «eau» et un rein «feu», soit un aspect d’élimination, de décharge vers le bas, vers la vessie, vers la terre, et un aspect de relâchement vers le haut, l’aspect «feu».

Uriner correspond à l’aspect «eau» mais n’est pas seulement que la vidange physique de la vessie. Si nous entreprenons un travail de lâcher prise sur de vieilles émotions et souffrance gardées trop longtemps en nous, uriner deviendra plus régulièrement un moment où notre être pourra libérer les scories énergétiques lieés à celles-ci. En d’autres termes, si nous nous permettons de vivre nos émotions, les reins finiront le travail! À l’inverse toute retenue affectera ceux-ci. Avoir conscience de leur fonction subtile rendra la fonction rénale plus efficace encore.

Injustice, mensonges mais aussi peurs fondamentales vont affecter les reins.

Ils sont sièges de nos mémoires cellulaires, en particulier celles qui n’ont pas été éliminées.

Et ce n’est pas par hasard si finalement la formation du calcul rénal, la pierre aux reins, n’est pas autre chose qu’une tentative d’isolement, sous forme de calcification, d’une émotion non solutionnée.

À l’inverse, le rein en mode «feu» va solutionner le problème vécu en brûlant les scories. Il y a dégagement d’une importante énergie, d’une grande vitalité. Cette fonction correspond aussi à l’aspect hormonal de la fonction rénale, la libération d’adrénaline et de cortisol permettant au corps de s’adapter aux changements de son environnement.

La perturbation de cette fonction subtile des reins entraînera trop de tristesse vécue, voire de la dépression si le mode eau est affecté et une surcharge d’activité voire d’agressivité pouvant mener au burn-out dans le cas d’un rein feu déséquilibré.

Le soin subtil a sa place dans l’approche santé des reins! Il existe un très  beau soin égypto-éssenien pour aider les reins à se rééquilibrer, à libérer les mémoires cellulaires et ainsi se délester de ce qui les encombre permettre à tout notre corps, et notre être, de gagner en harmonie.

Conseil quotidien : méditer en visualisant une cascade d’eau nous traverser complètement, depuis le dessus de la tête, procure un grand bien-être. Comme une grande douche qui nous nettoie!

Bien sûrs parler des reins fait aussi référence à leur fonction physiologique d’élimination. Ces organes sont hautement importants lorsque l’on parle de détoxification. Ils filtrent à peu près cinq fois le volume du sang quotidiennement. Ils éliminent les déchets du métabolisme comme l’urée (issue de la dégradation des protéines), l’acide urique ou encore les nombreux composés chimiques ingérés ou inhalés par l’organisme.

Pour prendre soin de ses reins :

– Boire de l’eau régulièrement est indispensable : 6 à 8 verres est idéal pour la majorité des gens.

Commencer votre journée au réveil par un grand verre d’eau, citronnée (qui favorisera aussi votre fonction intestinale).

– La décoction d’aubier de tilleul est idéale pour les terrains acidifiés sujets à calculs rénaux.

– Les infusions de persil frais (plat)– 1 bouquet moyen par litre d’eau- ou encore d’oignons – 3 par litre- sont d’excellent diurétiques.

– Et bien sûr l’éternel «piss-en-lit» qui est en parallèle un excellent support aux fonctions du foie. En teinture ou tisane, voire jus.

– Aliments pour les reins : cerises, chou (cru, en jus, jus de choucroute), fenouil, poireaux.

L’asperge convient parfaitement à  une monodiète.

– Pensez aux plantes adaptogènes pour supporter les glandes surrénales : ashwaganda, ginseng rouge, rhodiola voire la gelée royale, «super aliment», très yin, convenant idéalement à la femme.

Nos reins, organes en forme de haricot, de germe ont besoin de notre soutien et attention. Afin que la force qu’ils emmagasinent puisse nous soutenir longtemps et «fleurir dans les cheveux» comme le mentionne les textes de la Chine ancienne!

Bertrand Huchot

  • Mise en garde

Les informations contenues sur ces site/infolettre/capsules vidéo sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés, ni faire office de diagnostique. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ces site/infolettres/capsules vidéo, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter un professionnel de la santé. 

Problèmes de peau? Détoxifier!

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Notre peau est le plus grand organe de notre corps. Il est notre frontière entre le monde extérieur et notre monde intérieur. C’est donc la peau qui est en quelque sorte en relation avec les autres. Elle présente ainsi une image transparente de ce qui se passe en dedans de nous.

L’état de notre peau en effet reflète notre santé. Une belle peau est plutôt un bon signe.

À l’inverse chaque imperfection observée est un signe de dérèglement intérieur.

Sera-t-il alors suffisant d’agir topiquement en appliquant un remède, une crème, naturels ou non? D’un niveau naturopathique, non.

Il est important de comprendre que chaque symptôme est la conséquence d’un déséquilibre. Boutons, points noirs, rougeurs, irritations et même eczémas ou psoriasis pour ne citer qu’eux, sont la pointe émergée de l’iceberg. Cela veut dire qu’il est besoin d’agir ailleurs également.

Bien sûr la peau a besoin de nourriture. Et de certains nutriments comme la vitamine A (et son précurseur naturel le béta-carotène) ainsi que des omégas 3, indispensables pour fixer les molécules d’eau et donc à son hydratation. Mais il  est important d’avoir à l’esprit que la peau est un des quatre émonctoires de notre organisme, c’est-à-dire une porte de sortie pour tous déchets et toxines qui l’encombrent. Elle sert de relais et d’appui à d’autres émonctoires, en particulier la peau et les reins.

La peau comporte 2 types de glandes :

– une multitude de glandes sudoripares qui fonctionnent à la manière des reins filtrant le sang et éliminent la sueur. Celle-ci pourrait donc être considérée, vue sous cet angle, comme de l’urine diluée.

– les glandes sébacées sont un autre type de glande qui éliminent le sébum, une matière lipidique («graisseuse») nécessaire à l’équilibre de la peau mais dont l’excès est lié à l’acné.

En quelques mots le mécanisme est simple : si le corps est surchargé de toxines, ce qui est la plupart du temps le cas, l’intestin et les reins auront fort à faire. Ils risquent même d’être débordés. La peau prendra alors le relai afin d’éliminer ce qui encombre le corps et le sang.

Une des actions à poser est donc d’aider ces organes, de veiller à leur bon fonctionnement. Certains gestes de bases en particulier sont importants :

– boire suffisamment d’eau. 1,5 l par jour en moyenne

– un apport suffisant de fibre afin de drainer notre intestin : pensez aux graines de lin et de chia (1 à 2 cuillers à table par jour).

– l’exercice physique qui est toujours nécessaire

Mais aussi une saine nourriture, riche en prébiotiques favorisant les bonnes bactéries intestinales, des gestes posés au quotidien et/ou de façon saisonnière afin de supporter intestins, reins et foie acteurs de la détoxification, ou encore la fréquentation de saunas favorisant l’action de la peau.

Une plante a une action privilégiée avec la peau : la bardane. Non seulement celle-ci aide au travail du foie mais son effet drainant et nettoyant sur la peau et le sang est remarquable.

Chaque problème, maladie est aussi à considérer sous divers aspects de notre globalité. La peau traduira aussi bon nombre de nos émotions et sentiments peu ou pas conscients. Généralement des aspects de nous que nous ne voulons pas voir. Honte, culpabilité, manque d’amour de nous- même, colère. Oui la colère aussi. Toute rougeur et irritation sont à accueillir sous cette perspective. Le verbe accueillir est bien choisi car ce n’est pas en refusant ces émotions que nous facilitons leur circulation et donc leur apaisement. Bien au contraire. La santé et le corps humain, bien que complexe, est régi par des «lois» fort simples. La santé est simplicité. À nous de nous en apercevoir. Et de nous en occuper si l’on souhaite retrouver une peau de bébé…;-).